Automatiser un ensemble de systèmes et d’équipements techniques dans un bâtiment abritant tantôt un habitat individuel ou collectif, une entreprise, un hôpital, un hôtel, une école ou une industrie, dans un objectif d’optimiser la consommation d’énergie et de réduire les coûts  : telle est la vocation de la domotique.

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Si comme nous vous aimez les vidéos d’écolo alors ce festival est pour vous. La première édition du Festival du Film Vert a eu lieu à Orbe en février 2006. Son but était de présenter à un public aussi large que possible une sélection de films traitant de questions liées à l’environnement, au développement durable ou aux rapports Nord-Sud.

Cette année il se tient du 28 février au 8 mars, n’hésitez pas à y faire un tour. Vous trouverez le programme sur le site du festival. Bon film.

Derrière le terme technique et un peu rébarbatif d’ACP, ou « agriculture contractuelle de proximité », se cache un concept de solidarité citoyenne, de souveraineté alimentaire et d’équité commerciale.

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La Suisse se reveille sous un magnifique manteau de neige. Et pour annoncer le premier jour officiel de l’hiver, le site de Café Vert change de couleur. Découvrez ce design hivernal concocté par notre graphiste Patrick.

Toute l’équipe en profite pour vous souhaitez de bonnes fêtes de fin d’années et on se retrouve en 2010 pour pleins de news. Alors à tout bientôt.

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10 jours après le lancement, le projet avance tranquillement. Nous sommes très content de l’accueil réservé autant pas la communauté sur Facebook qui grandit à vue d’oeil que par la couverture médiat. Une première page dans le journal La Côte, 2 passages radio et des articles sur les blogs. Notamment chez Biosphère, Nicolas Esse, Echo Mag et Luca Palli.

Le podcast est disponible directement (et gratuitement) sur l’Itunes Store. Pour les amateurs d’une solution alternative, il y a Miro. Alors pour être sûr de ne manquer aucun épisode: abonnez-vous!

Le deuxième podcast sur les rails, on tourne ces jours. Comme annoncé, il sera disponible le 7 janvier. Des nouvelles vidéos glanées sur le web seront bientôt être ajoutées dans la base de données (merci pour vos soumission). Et depuis aujourd’hui, nous sommes inscrit dans l’Eco Annuaire et l’Annuaire Ecologique. On vous réserve une petite surprise pour le 21 décembre.

A bientôt pour un p’tit Kawa.

Vincent Courtillod, professeur de géophysique, membre de l’Académie des Sciences, président du Conseil Scientifique de la Ville de Paris, un scientifique français qui se fait fort de remettre en question la théorie communément acceptée du réchauffement climatique.

Sceptique, il a analysé en détail les conclusions du rapport du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat). En résulte une controverse sur les causes du réchauffement climatique. Selon Vincent Courtillot, certes, l’activité humaine a sa part de responsabilité dans le dérèglement climatique. Néanmoins, il y aurait un lien entre climat, activité solaire et magnétisme terrestre. Phénomènes observés sur une durée de temps géologique (on parle de milliers voire de millions d’années), ce qui permet une meilleure évaluation de la situation.

Info ? intox ? une démarche qui a le mérite de forcer à une réflexion plus profonde et à ne pas se fier aveuglément à des données scientifiques. Après tout, avant Darwin, l’humanité n’était-elle pas convaincue de la théorie de créationnisme ?

« World Wide Views On Climate Change » représente le contre-pied populaire au sommet de Copenhague. Son objectif est de donner voix au chapitre aux citoyens lambda à travers le monde, leur permettre de s’exprimer quant aux décisions et discussions menées à COP15, ainsi qu’influencer les négociations sur la politique liée au réchauffement climatique.

Le coup d’envoi de cette initiative a été donné le 26 septembre 2009. Ainsi pas moins de 4400 citoyens de 38 pays différents ont pu s’exprimer quant à leurs attentes face aux négociations du sommet COP15. La méthode ? une sélection de citoyens représentatifs (âge, profession, genre, formation), à raison d’une centaine par pays, ont répondu à une série de questions liées aux thèmes prévus au sommet de Copenhague. Le résultat a été ensuite collecté et relayé via le web, et mis à disposition des participants pour comparer les résultats.

De telles initiatives peuvent-elles réellement peser sur les négociations et les décisions du sommet de Copenhague ? n’est-ce pas un coup d’épée dans l’eau ? devrait-on multiplier ce type d’initiatives ?

Alors que le monde entier attend que ce sommet dégage enfin une solution au problème climatique, une frange d’anti Copenhague s’élève et appelle à la vigilance.

C’est, entre autres, le cas du groupe Climate Justice Action  qui prépare une série d’actions durant le sommet de Copenhague, à Copenhague même, actions coordonnées par les divers réseaux sociaux sur le web. Motivé par l’urgence que représente la catastrophe climatique, le groupe lance un appel à plus de justice, notamment vis-à-vis des pays du Sud, à une réelle prise de conscience de l’importance de la promotion de la biodiversité (année 2010 = année de la biodiversité), à une prise de conscience doublée d’une volonté d’éduquer et de transmettre le plus largement possible les bases d’une économie nouvelle reposant sur plus d’équité et de visibilité en matière de politique, d’économie, et de société.

Ce groupe, à l’instar d’autres associations et ONG actives dans la protection de l’environnement, n’applique-t-il pas tout simplement le principe du bon sens et de la logique que notre société industrielle, axée sur le profit à tout prix, a perdu de vue ? Notre société s’est-elle à ce point fourvoyée ? Comment a-t-on pu en arriver là ?

Copenhague, c’est parti.

Affluence record, puisque 192 pays ont répondu à l’appel .

Une visite très attendue : celle du Président Obama le 9 décembre prochain à Copenhague où il annoncera l’intention des Etats-Unis de s’engager à une réduction de 17% des émissions de CO2 par rapport aux taux de 2005. Rappelons que les Etats-Unis ne sont pas signataires du Protocole de Kyoto.

Chine et Inde seront également de la partie. Une Chine qui s’est engagée d’ici à 2020 à réduire son « intensité carbone » de 45% par rapport à 2005. Reste à définir ce que « intensité carbone » signifie et comment cette mesure sera appliquée, puisque la Chine se refuse à toute mesure contraignante et souligne fermement que les mesures qui seront prises ne devront en aucun cas influencer sa croissance économique.

Les Etats-Unis et la Chine totalisent à eux deux 40% des gaz à effet de serre de la planète.

Le sommet de Copenhague ne risque-t-il pas de devenir une joute où les gouvernements des pays industrialisés et des pays émergents essaieront plus de promouvoir leur image de marque que de prendre de réelles mesures en faveur d’une stabilisation des facteurs déclenchant du réchauffement climatique ?